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My Philosophy on Ghosting -- Why I (Almost) Don't "Ghost"

Updated: Feb 17



An image of a ghost.

French translation by Mr. Roland Leblanc, English version, below


Ma philosophie sur le ghosting – Pourquoi je ne fais (presque) pas de « ghosting » « Ghosting » (la rupture sans explications) semble être un terme plus contemporain. Il est utilisé pour définir une situation dans laquelle une connexion entre au moins deux personnes devient brusquement et indéfiniment interrompue, par l'une des parties, sans qu'elle donne une raison valable pour cela. C’est triste, certes, mais en réalité, n’importe qui peut ghoster n’importe qui d’autre, tout simplement parce que nous ne pouvons pas contrôler complètement les actions de l’autre partie, aussi chère et importante est-elle à nos yeux. Cela fait partie de la liberté. Que nous l'aimions ou l'adorions, la vérité est que nous ne pouvons pas verrouiller la porte aux « invités » qui veulent partir. Ils peuvent également partir comme ils le souhaitent et quand ils le souhaitent.

C'est le problème avec les amis, avec les relations amoureuses et avec le mariage : ils peuvent toujours disparaître de par leur volonté, peu importe ce que nous pensons qu'ils pensent de nous. J'ai moi-même eu beaucoup de gens qui m'ont "ghosté", tout d'un coup. Je ne pouvais pas prévoir leur départ, ni comprendre leur raisonnement, jusqu'à ce jour. C’est aussi le problème de vouloir tout savoir : certaines données pourraient tout aussi bien nous être cachées à jamais. Pourquoi? Parce que nous ne pouvons pas toujours leur tirer les verres du nez, à ceux qui gardent leur secret avec une grande et inexplicable détermination. Ahh, Sonya. Tu étais vraiment une femme gentille. Le simple fait que je te parle constamment te donne envie que je te laisse tranquille. Je ne sais vraiment pas pourquoi tu as fait cela. Tout ce que je peux me dire à ce sujet, c'est que tu es, ou a été, lâche, peut-être comme tous ceux qui m'ont ghosté. Se confronter à la personne avec laquelle vous souhaitez éliminer tout contact semble être quelque chose dont certaines personnes ont trop peur, n'est-ce pas ? La misère peut être incluse, et comme la douleur ne fait pas du bien aux non-masochistes, certains préféreront peut-être également éliminer cette possibilité. La possibilité de ressentir ne serait-ce qu’une once de souffrance. Hmph. Des faibles mentaux. Ils ne peuvent pas couper les ponts comme font les grandes personnes, comme les « vrais hommes ». Pas besoin de s'enfuir sans avoir fini les choses correctement. Ils peuvent terminer par une conversation et par des mots d’adieu. Ils choisissent de ne pas le faire parce que le ghosting est maintenant normalisé et accepté. Alors pourquoi, les gens vont ghoster, me direz-vous ? Ils «vont ghoster» parce qu'ils craignent exclusivement la douleur, même si elle est émotionnelle. Ils ont peur de la douleur, parce que la douleur procure une forme élevée d’inconfort.

Je ne me souviens pas des fois où j'ai ghosté. Comment ça se fait? C'est juste que je m'efforce généralement de traiter quiconque avec respect, même ceux qui pourraient me mépriser, de manière déraisonnable ou non. En tant que philosophe, je cherche à mieux comprendre cette réalité à laquelle j’ai été contraint par la naissance. C'est pourquoi, toute personne que je rencontre, qu'elle soit empathique ou sociopathe, je peux en bénéficier pour mieux apprendre des choses et obtenir plus de matière à réflexion. Pourquoi ne devrais-je pas être reconnaissant pour les leçons qu’elles peuvent m’enseigner, quelle que soit l’offense qu’elles peuvent m’infliger, intentionnelle ou non ? La douleur n’a pas vraiment d’importance pour moi lorsque de nouvelles perspectives peuvent être découvertes. Cela ne veut pas dire que j’aime la douleur, mais que se passe-t-il si je la ressens déjà ? Ensuite, j’essaie de trouver des moyens de voir comment cela peut me bénéficier, en tant que philosophe. J'en tire le meilleur parti. Après tout, tout peut inciter à écrire de nouvelles découvertes, dont d’autres peuvent bénéficier pendant au moins un siècle. Je ne fais que couper les ponts d'avec les harceleurs, les spammeurs et les escrocs, ainsi que les personnes qui, selon moi, peuvent me faire du mal inutilement. Et même alors, oui ? Je ne suis pas vraiment un adepte du ghosting. J'ai peut-être tort; J'étais moins compatissant quand j'étais enfant. Cet enfant a eu ce qu'il mérite. Les apprentis et les bénévoles en ghosting auront une très mauvaise image de moi en tant que leur enseignant/mentor/partenaire. J'ai de meilleures normes, c'est pourquoi je mentore et m'efforce d'être professionnel. Oui, oui, même la lâche Mme Chen, dont le vrai nom ne sera jamais révélé, m'a beaucoup appris sur l'existence. C'est pourquoi je lui suis également reconnaissant, malgré... l'utilisation de ce mot qui m'a déplu. Savez-vous pourquoi je lui suis également reconnaissant ? Parce qu'elle ne m'a jamais ghosté.

Au moins, elle a eu le courage de s’expliquer, et cela, je peux l’apprécier, cela vaut mieux qu’une lâche évasion. Sa seule lâcheté est de prendre ses distances avec certaines vérités. C’est pourquoi je la considère comme une Némésis, même si elle ne m’a jamais ghosté. Je ne souhaite pas échapper à la vérité, car cela serait contraire à l'ambition philosophique ! N’oubliez pas que même « la personne la plus haineuse de la planète » peut en soi être un enseignant précieux. Je leur dirais simplement qu'ils sont renvoyés, plutôt que de les ghoster comme un lâche. C'est juste une douleur mentale ! C'est le moins que je puisse faire, au moins, aux contributeurs potentiels, pour l'expansion de mon esprit ----- et pour les articles potentiels aussi ! Peut-être que cela peut être une méthode fonctionnelle et optimiste, que d’autres pourraient également adopter ? Mais il faut être fort mentalement pour le faire correctement, et ne pas avoir peur de certaines angoisses ! De plus, je ne ghoste que dans des circonstances exceptionnelles, et donc rarement. Je choisis de rester discret en la matière. Mais néanmoins, les gens ont leurs propres raisons de ghoster. Certains d’entre eux, je crois, expriment leur caractère lâche. , Au diable la normalisation des actes dépravés. Que cette pauvre excuse éprouve le cri unifié de mille âmes. Comme il le mérite, pour avoir fait de ce monde un monde de faibles. Mentalement, moralement et autrement. Je refuse d'être faible... plus jamais.


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(English version, original)


"Ghosting" appears to be a more-contemporary term. It is used to define a situation, where a connection between at least two people, gets abrupt indefinitely, by one of the sides, without them giving a proper reasoning for doing so.


Sad, indeed, but in reality, anyone can ghost anyone else, simply because we cannot completely control the actions of the other side, no matter how dear and important they are to us. It's part of liberty. Whether we love them or adore them, the truth is, we cannot lock the door from "guests" who want to leave. They can also leave however and whenever they want, too.


That's the problem with friends, with romance and with marriage -- they can always disappear by will, regardless of what we think they think of us.


I myself had many people who "ghosted" me, all of a sudden. I couldn't predict their departure, nor could understand their reasoning, to this very day. It's also the problem with attempting to know everything -- some data might as well, be forever concealed from us. Why? Because we can't always unlock it, from those who guard it with great, unexplained determination.


Ahh, Sonya. You were a kind woman indeed. The mere fact that I talked to you consistently, made you want me to leave you alone. I really don't know why you've done so. All I can tell myself in that regard, is that you were, or are, a coward, perhaps like the rest who've ghosted me. Confronting the person, you wish to eliminate any contact with, seems to be something, some people are too afraid of, correct?


Misery may be included, and since pain does not feel good to the non-masochists, some may prefer to just eliminate that possibility, as well. The possibility of experiencing even an ounce of suffering. Hmph. Mental weaklings. They can cut ties like grown ups, like "real men". No need to run away without finishing things properly. They can finish with a conversation and with words of goodbye. They choose not to because ghosting is has been normalized.


Hence why, people "ghost", see? They "ghost" because they fear pain, even if it's emotional, exclusively. They fear pain, because pain is an elevated form, of discomfort.


I rarely recall cases where I was the "ghost". How come? It's just that I usually strive to treat anyone with respect, even those who might despise me, unreasonably or otherwise. As a philosopher, I seek to better understand this reality I was forced into by birth. That's why, any person I may come by, be them empathic or sociopathic, I can benefit from them to better learn things, and gain more material for insights. Why shouldn't I be grateful for the lessons they may teach me, regardless of the offense they may inflict, intentional or not?


Pain does not really matter to me, when new, probable insight, might be found. It does not mean I like pain, but what if I'm already experiencing it? Then, I will try to find ways to see how it can benefit me, as philosopher. I will make the best of it. After all, anything can inspire to write new findings, others can be benefitted from, for at least a century.


I only truly cut the bridges, from harassers, spammers and scammers, and people I believe can harm me unnecessarily. And even then, yes? I do not really ghost. I may be wrong; I was less compassionate as a child. That child got what he deserves.


Ghosting apprentices and volunteers will reflect very poorly on me as their teacher/mentor/partner. I have better standards, hence why I mentor and strive to be professional.


Yes, yes, even the cowardly Ms. Chen, whose true name will never be revealed, has taught me quite a lot on existence. Hence why I am grateful for her too, despite... using that awful word. Do you know why I am grateful for her, too? Because she never ghosted me.


At least she had the courage to explain, and that, I can appreciate, better than a cowardly escape. Her only cowardice comes in keeping distance from some truths. Hence why I view her as a nemesis, even though she never ghosted me. I do not wish to escape from truth, as that will be against the philosophic ambition!

Remember that even "the most hating person on the planet", per se, can be a valuable teacher. I'd just tell them they're dismissed, than ghosting like a coward. It's just mental pain! It's the least I, at least, can do, to potential contributors, for the expansion of my mind ----- and for potential articles, too! Perhaps, this can be a functional, optimistic method, others can adopt, as well?


But you need to be strong mentally to do it properly, and not be afraid of some anguish!


I also only ghost under exceptional circumstances, and thus, rarely. I choose to remain discreet in the matter. But nonetheless, people have their own reasons to ghost. Some of which, I believe, express their cowardly nature.


Noramlization of depraved acts, be dammned. May this poor excuse experience the unified scream of a thousand souls. Like it deserves, for making this world that of weaklings. Mental, moral and otherwise.


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Tomasio A. Rubinshtein, Philosocom's Founder & Writer

I am a philosopher from Israel, author of several books in 2 languages, and Quora's Top Writer of the year 2018. I'm also a semi-hermit who has decided to dedicate his life to writing and sharing my articles across the globe. Several podcasts on me, as well as a radio interview, have been made since my career as a writer. More information about me can be found here.

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